samedi 24 juillet 2010

Et c'est parti !

Ici Alexandre, en direct de chez Daniel.

J'ai écrit cet article jeudi dernier, en après-midi.


Déjà le troisième jour de notre voyage, et les aventures ne manquent pas. Le jour de notre départ, une des sangles qui retiennent la moto de Luc s’est déchirée. Puis, un des pneus arrière de Donald s’est décapé, abimant la carrosserie de leur motorisé. Un peu plus loin, une autre sangle a rendu l’âme. Le temps de faire des réparations et nous voilas repartis. Mais les surprises n’étaient pas finies. Les scellant en caoutchouc de la cabine de Donald se sont décollés, un à un. En arrivant dans la cour du Walmart, à peine franchis la frontière du Nouveau-Brunswick, nous nous sommes rendu compte que la batterie de Luc était à plat. Heureusement, nous en avions une de rechange, qui était sur la charge avant notre départ. En essayant d’ouvrir la porte du petit compartiment où elle était rangée, Luc casse sa clé. Donald arrive avec la sienne et il ouvre la porte sans problèmes ! Chantal et Josée allèrent faire l’épicerie et deux doubles de cette clé salvatrice. Mais une surprise nous attendait. La deuxième batterie était presque finie elle aussi ! Après une nuit glaciale sans électricité (Luc et Chantal ne serons pas d’accords sur l’emploi de cet adjectif) nous sommes allé au Canadian Tire pour s’acheter des tubes de vélo de secours et une nouvelle batterie. Un petit brin de magasinage et de réparation et une nouvelle batterie prenait place dans notre voyage.

Et c’étais repartit pour une deuxième longue journée de route.

C’est alors que Josée nous appelle pour nous dire qu’il ne leur restait qu’un quart de leur réservoir d’essence. En sortant de la bretelle d’autoroute, ils s’arrêtent. Panne d’essence. Nous fîmes demi-tour pour les rejoindre. Heureusement Donald, le prévoyant, trainait avec lui un cinq gallons de diesel, et nous pûmes nous rendre à la station service.

Nous avons également croisés une tour d’éolienne qui dépassait tous le monde. Très stressant pour nos deux copilotes surtout. Malgré tout nous avons passé la frontière sans encombres, et nous nous somme arrêtés dans la station d’Informations Touristiques de la Nouvelle-Écosse.

Rendus au camping, dans les environ de Truro, je désire faire un tour de vélo. Malheur, le cadenas ne veut pas se débarrer. Après plusieurs longues minutes, je réussis à délivrer ma bicyclette de sa prison de fer. Après une autre nuit froide, et après avoir vidangés nos toilettes (L’odeur était horrible, et même pire que cela) et refait le plein d’eau, nous nous dirigeons actuellement vers Windsor (Petit clin d’œil à mon amour) où nous allons dîner, puis continuer notre voyage jusqu’à Wolfville, où nous commencerons demain notre trajet de vélo.


Au plaisir de lire vos commentaires.

1 commentaire:

  1. J'espère que vous avez eu une bonne visite chez Daniel, et profiter du beau temps et de la musique. Espérant vous lire à nouveau dans votre voyage dans l'Atlantique. Pa.

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